On dit que l’esthétique des voitures a évolué en fonction de notre capacité à plier et à façonner le métal. Les voitures d’antan étaient caissonnées parce que nous ne pouvions pas manipuler les feuilles de métal pour leur donner des courbes et des contours en trois dimensions. Dès que cela s’est produit, les voitures carrées de style rétro ont disparu, laissant place à des silhouettes plus aérodynamiques et plus curvilignes… Et si, dans une réalité alternative, l’ancienne esthétique restait inchangée ? Nous sommes passés à des phares LED futuristes et à des peintures métalliques brillantes/mates cyberpunk… mais la carrosserie de nos véhicules a conservé son charme rétro. Voici Hexaleaf, un concept car (et une marque) de l’artiste conceptuel ukrainien Andrii Snitsar. Créé dans le cadre d’un autre projet, Snitsar a décidé de partager l’Hexaleaf en tant que projet indépendant sur son Artstation, en soulignant sa beauté cyberpunk d’inspiration rétro.
Concepteur : Andrii Snitsar
L’Hexaleaf de Snitsar est à la fois rétro et futuriste – pensez à la DeLorean, mais en beaucoup plus classe. Les lignes droites et l’absence de courbes organiques sont presque caricaturales, mais elles sont magnifiques sur la voiture. Voyez la découpe de l’aile pour les roues et vous comprendrez ce que je veux dire. Snitsar ridiculise presque la notion de design automobile en donnant aux roues une découpe en forme de carte SIM (attention aux TOC). Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette découpe attire l’attention et met en valeur les jantes brillantes. La voiture opte également pour un pare-chocs avant très inhabituel, qui ressemble davantage à une protection métallique qu’au pare-chocs lui-même. Il s’harmonise parfaitement avec les superbes phares qui donnent l’impression qu’une voiture de luxe des années 50 a subi un lifting digne de l’année 2050.
Le logo Hexaleaf figure en bonne place sur le toit – un choix étrange. On peut même le voir sur le capot, qui est l’endroit où l’on trouve le plus souvent les logos des voitures.
Il est difficile de déterminer avec précision le langage stylistique de l’Hexaleaf, mais il y a une forte interaction entre l’ancien et le futuriste. La forme de la voiture, à première vue, est un clin d’œil aux voitures du milieu des années 60, avec ces phares verticaux qui ajoutent une saveur rétro distincte (pensez à Deville, GTO, Galaxie, ou même Eldorado). Le pare-brise plat renvoie à une époque encore plus lointaine où le verre triplex ne pouvait pas être plié, ce qui confère à l’Hexaleaf un attrait indéniable pour le passé. L’utilisation du chrome, pour une raison ou une autre, est à la fois rétro et moderne, évoquant les émotions simultanées de la DeLorean et du Cybertruck.
L’arrière met en évidence un double échappement et un ensemble de feux arrière à LED à trois anneaux, cachés derrière une façade transparente (l’arrière est donc complètement plat et ne s’anime que lorsque les feux brillent au travers). Il est surprenant qu’il n’y ait pas de groupe motopropulseur électrique sur ce véhicule (vous verrez même l’entrée d’essence à côté du feu arrière), mais encore une fois, le fait qu’il fonctionne à l’essence lui donne un air de muscle américain pur que j’aime personnellement.
On dit que l’esthétique des voitures a évolué en fonction de notre capacité à plier et à façonner le métal. Les voitures d’antan étaient caissonnées parce que nous ne pouvions pas manipuler les feuilles de métal pour leur donner des courbes et des contours en trois dimensions. Dès que cela s’est produit, les voitures carrées de style rétro ont disparu, laissant place à des silhouettes plus aérodynamiques et plus curvilignes… Et si, dans une réalité alternative, l’ancienne esthétique restait inchangée ? Nous sommes passés à des phares LED futuristes et à des peintures métalliques brillantes/mates cyberpunk… mais la carrosserie de nos véhicules a conservé son charme rétro. Voici Hexaleaf, un concept car (et une marque) de l’artiste conceptuel ukrainien Andrii Snitsar. Créé dans le cadre d’un autre projet, Snitsar a décidé de partager l’Hexaleaf en tant que projet indépendant sur son Artstation, en soulignant sa beauté cyberpunk d’inspiration rétro.
Concepteur : Andrii Snitsar
L’Hexaleaf de Snitsar est à la fois rétro et futuriste – pensez à la DeLorean, mais en beaucoup plus classe. Les lignes droites et l’absence de courbes organiques sont presque caricaturales, mais elles sont magnifiques sur la voiture. Voyez la découpe de l’aile pour les roues et vous comprendrez ce que je veux dire. Snitsar ridiculise presque la notion de design automobile en donnant aux roues une découpe en forme de carte SIM (attention aux TOC). Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette découpe attire l’attention et met en valeur les jantes brillantes. La voiture opte également pour un pare-chocs avant très inhabituel, qui ressemble davantage à une protection métallique qu’au pare-chocs lui-même. Il s’harmonise parfaitement avec les superbes phares qui donnent l’impression qu’une voiture de luxe des années 50 a subi un lifting digne de l’année 2050.
Le logo Hexaleaf figure en bonne place sur le toit – un choix étrange. On peut même le voir sur le capot, qui est l’endroit où l’on trouve le plus souvent les logos des voitures.
Il est difficile de déterminer avec précision le langage stylistique de l’Hexaleaf, mais il y a une forte interaction entre l’ancien et le futuriste. La forme de la voiture, à première vue, est un clin d’œil aux voitures du milieu des années 60, avec ces phares verticaux qui ajoutent une saveur rétro distincte (pensez à Deville, GTO, Galaxie, ou même Eldorado). Le pare-brise plat renvoie à une époque encore plus lointaine où le verre triplex ne pouvait pas être plié, ce qui confère à l’Hexaleaf un attrait indéniable pour le passé. L’utilisation du chrome, pour une raison ou une autre, est à la fois rétro et moderne, évoquant les émotions simultanées de la DeLorean et du Cybertruck.
L’arrière met en évidence un double échappement et un ensemble de feux arrière à LED à trois anneaux, cachés derrière une façade transparente (l’arrière est donc complètement plat et ne s’anime que lorsque les feux brillent au travers). Il est surprenant qu’il n’y ait pas de groupe motopropulseur électrique sur ce véhicule (vous verrez même l’entrée d’essence à côté du feu arrière), mais encore une fois, le fait qu’il fonctionne à l’essence lui donne un air de muscle américain pur que j’aime personnellement.
